La semaine dernière, la direction a convoqué un CSE extraordinaire pour la « reprise d’activité » à partir du 11 mai. Pressée de relancer l’usine arrêtée depuis le 16 mars, elle avait même commencé avant à relancer certains secteurs, à partir de salariés « volontaires », bien souvent à cause des pertes de salaire imposées dans le cadre du chômage partiel.
Maintenant, elle veut pouvoir redémarrer rapidement, puisqu’elle prévoit 107 salariés sur le site en fin de cette semaine (sur 185 salariés) et 142 à la fin du mois, avec un important recours à l’intérim. Bref, tout est prévu nous dit-on, pour produire et « rattraper le retard ».