Contre un pouvoir sécuritaire, globalisons la contestation
Le 28 novembre, nous étions des centaines de milliers de manifestants dans tout le pays, dont beaucoup de jeunes, pour le retrait de la loi sur la sécurité globale, près de 20 000 à Bordeaux. Le gouvernement, qui pensait confiner la contestation, doit faire face à la colère et la révolte qui explosent.
Les images du tabassage de Michel Zecler par des policiers le traitant de « sale nègre », comme les images montrant l’évacuation à coups de matraques et à coups de pieds de migrants et de leurs soutiens place de la République à Paris, ou d’autres encore depuis, ont révolté.